En 1980, me rendant compte de l’importance de mes travaux sur mes recherches tennistiques commencées en 1972, je décidais de prendre contact avec la fédération française de tennis, puisqu’elle m’avait permis de m’exprimer par mes recherches tennistiques grâce à un diplôme que j’avais obtenu en 1968.
Devant un haut responsable de la direction technique de la fédération dont je ne citerais pas le nom et à qui j’expliquais avec documents à l’appui la technique tennistique qui existait depuis la création du tennis et que je n’avais pas inventé, celui-ci me répondait à mon grand étonnement : » Vous remettez tout en cause ». Au bout d’un moment, j’ai compris que ce monsieur qui représentait devant moi la fédération française de tennis ne comprenait pas la mécanique tennistique.
J’en ai conclu très vite que l’on pouvait en dire autant de tous les responsables techniques de la fédération française de tennis, et cela n’avait rien d’étonnant puisque j’avais en ma possession plusieurs dossiers de toutes les erreurs et incompétences faites à toutes les époques et dans tous les pays du monde.
Par la suite aussi, j’ai été étonné par le manque de curiosité de la fédération française de tennis qui n’a pas cherché à en savoir plus sur mes recherches tennistiques. Suite à ce rendez-vous, je me sentais plus libre pour aller vers la presse car je ne voulais pas que mes recherches tennistiques meurent dans le fond d’une armoire et pour ensuite trouver un éditeur.